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Photographie: Claire Littaye

Souvent, le terme « MNA », acronyme de « mineurs non accompagnés », interroge. Qui sont ces jeunes ? Quels sont leurs droits ? Quelle est leur voix ? La question des enfants séparés demande à être mieux connue et mieux comprise tant dans le milieu professionnel que dans la sphère publique. Une exposition leur est consacrée.

Photographie: Claire Littaye

Le 26 juin 2013, l’Alliance pour les droits des enfants migrants (ADEM), coordonnée par la Fondation suisse du Service Social International (SSI) et l’Institut international des Droits de l’Enfant (IDE), a organisé un colloque national consacré au thème des enfants séparés en Suisse. Le colloque a réuni 70 professionnels et acteurs du domaine, provenant de 12 cantons différents.

La Fondation suisse du Service Social International (SSI) et l’Institut international des droits de l’enfant (IDE), groupés en Alliance pour les droits des enfants migrants (ADEM),  organisent le 26 juin 2013 à Fribourg un colloque national réunissant les organisations et professionnels concernés par la prise en charge enfants séparés, avec ou sans statut légal.

Le 15 mai 2013, la Fondation suisse du SSI a réuni les six cantons romands pour une journée d’échange d’expériences dans le domaine de la prise en charge des enfants séparés. La journée s’est déroulée au Centre de formation « Le Botza », à Vétroz, en collaboration avec l’Office de l’asile du canton de Valais et la structure d’hébergement pour les mineurs non accompagnés « Le Rados », à Sion.

Dès le 1er février 2013, les jeunes sans-papiers pourront effectuer un apprentissage sous certaines conditions. Ils devront notamment être bien intégrés (maîtrise d’une langue nationale et respect de l’ordre juridique) et avoir fréquenté la scolarité obligatoire en Suisse au moins cinq ans sans interruption.